L’histoire

Un chat va où il veut. Personne ne peut choisir ses voisins. Deux vérités dont Sara et Björn vont faire l’expérience en venant s’installer à la campagne, dans une maison tout juste rénovée. Ils avaient pensé que Björn pourrait prendre du recul par rapport à son travail en ville et que Sara réaliserait enfin son rêve de créer sa propre jardinerie. Sans parler de leur chat. Quelle belle occasion de partir à l’aventure !

Lars et Agneta, les voisins d’en face, débarquent dès le premier soir. Tout comme Sara et Björn, ils ont un chat : jolie coïncidence ! Et ce n’est pas la seule chose qu’ils ont en commun. De solides bases semblent se tisser pour que la cohabitation fonctionne à merveille dans ce nouveau voisinage.

Mais rapidement, le doute s’installe. Le chat de Lars et Agneta est un animal agressif qui défend son territoire à coup de dents et de griffes et à mesure que la guerre entre les deux chats s’intensifie, la tension entre les tout nouveaux voisins grandit. Une découverte vient pimenter la situation : ce n’est pas la première fois que des habitants de ces deux maisons entrent en conflit. Une discorde qui s’était terminée en mystérieuse tragédie jamais vraiment élucidée.

Tout comme un chat qui guette sa proie, l’histoire rattrape les nouveaux arrivants. Sara et Björn sont alors contraints de se défendre avec des méthodes dont ils ne se seraient jamais crus capables. Finalement, lorsque tout craque, les chats comme les voisins s’affrontent avec une force qu’on entend résonner de loin.

Patte de velours, œil de lynx est un récit palpitant qui sort de l’ordinaire, dans le pur style « Maria Ernestamien ». Un hommage aux voisins qui essayent de cohabiter et aux chats indomptables et entêtés. Un livre parfait pour faire un cadeau. Le texte est accompagné des magnifiques illustrations de Lina Bodén.

Lu dans la presse

Une bonne critique est toujours plaisante à lire. Celles-ci m’ont particulièrement touchée.

L’auteure passe de la comédie de mœurs au suspense avec beaucoup de talent. Et si le livre est drôle, son dénouement, lui, se révèle des plus surprenants! Version Femina, France

Le suspense est habilement mené, l’insidieuse sensation de malaise, que quelque chose ne tourne pas rond, augmente tout au long du roman et accroit ainsi l’aspect dramatique de l’histoire. Le final, tendu et parfaitement maîtrisé, est grandiose. La romancière connait visiblement très bien les chats et leurs comportements, et les décrit avec beaucoup de perspicacité. Bibliotekstjänst

Patte de velours, œil de lynx est un thriller dans le pur style Maria-Ernestamien et ravira tous les amoureux des chats. Et aussi tous les amoureux des chiens, d’ailleurs. Tidningen Kulturen

Maria Ernestam est l’une des magiciennes des mots les plus talentueuses de Suède. Metro

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